RARE DOCUMENT SUR LES FORGES DE JEAND’HEURS Meuse
VOIR HISTORIQUE CI APRES EN FIN DU § DESCRIPTION
DESCRIPTION
ANNEE 1827
FORMAT A4
A ETE SIGNEE
MARQUE POSTALE « 53 BAR LE DUC »
DOCUMENT EN BONNE CONDITION ET TRES FRAIS
TEXTE INTERSSANT
ECHANTILLONS / TEMPS NECESSAIRES POUR LES FABRIQUER
MARTINET EN REPARATION
ETC
VOIR TETXE
VOIR SCANS
VOIR HISTORIQUE
HISTORIQUE
SOURCES
L'essor industriel au 19e siècle
Ville de Saint-Dizier
https://www.saint-dizier.fr › l-histoire-de-saint-dizier
Né en 1852, Albin Rozet est le fils de Jules Rozet, propriétaire du Clos-Mortier. Après des études de droit à Paris, il entame une carrière diplomatique qui le ...
Jusqu'à la Révolution
Ville de Saint-Dizier
https://www.saint-dizier.fr › jusqu-a-la-revolution
Les deux forges les plus fameuses de la ville, celle du Clos-Mortier et celle de Marnaval, ont été créées sensiblement à la même époque. ... Rozet ou d'un Emile
VOIR AUSSI
INTRODUCTION
patrimoineindustriel-apic.org
https://patrimoineindustriel-apic.org › Jules-Rozet
...
424 pages
SOURCES
EXTRAIT 1
: A.P.V.M., lettre de Mandonnet, Forges du Vieux Jeandheurs à Rozet, 23 Novembre 1826 : « « Les marchands de Lyon qui s'entendent très bien ont je crois eu l'intention à cette dernière (?) foire de déprécier les fers des nouvelles fabriques de St-Etienne, St-Chamond, Terrenoire et autres, ils ont fait fi sur ces fers et ont pris pour parer aux premiers besoins les fers martelés déjà fabriqués où devant l'être de suite. Les nouvelles usines seront engorgées pendant qu'ils écouleront leurs dernières acquisitions et avant la prochaine foire (1er février) ils auront déjà obtenu leur produit à très vil prix. Nantis de ces fers ils arriveront bien durs bien fiers à Chalons et les pauvres maîtres de forges de la Seine, de l'Aube, de la Til (sic) etc etc qui ne sont pas très forts comme vous avez pu le remarquer seront obligés de céder au sort et surtout à l'adresse et de se contenter du prix que la générosité de Lyonnais fixera. Je crois qu'ils peuvent compter ne pas vendre plus de 450, ce résultat me parait d'autant plus probable que quelques maîtres de forges des moins bien placés pour se procurer un autre débouché que Lyon n'ont pu parvenir à vendre une seule barre, ces diables de Lyonnais s'étant probablement entendus vont les embarrasser et se réserver ainsi un puissant moyen pour précipiter la baisse quand ces malheureux auront sur les bras près de 6 mois de fabrication.».
EXTRAIT 2
A.P.V.M., Mandonnet à Rozet, 18 septembre 1833 : Mandonnet conseille à Jules Rozet de commencer avec un très faible dose d’escarbille sous peine d’avoir de la fonte excessivement noire ; la mine reste suspendue car elle ne peut traverser la charge de charbon et elle arrive pendant un certain temps en moins grande quantité au creuse